Plusieurs scenarios ont été élaborés dans les versions successives
de ce site web. Dans la dernière version, archivée en août 2003,
je présentais deux scenarios :
- Le scenario de "la doublure". Il était basé sur le fait que le vol
77 aurait été descendu avant de pouvoir atteindre Washington D.C. et
remplacé par un autre avion qui aurait attaqué le Pentagone.
- Le scenario "fric-frac". Il était basé sur le fait que le Boeing 757
du vol 77 aurait été remplacé par un vieux Boeing 737-200 destiné à la
casse.
Je pense encore que ces scenarios sont possibles, mais les conclusions
de mes dernières analyses sur les théories du crash poussent vers un scenario
plus probable. Voici sa description.
Début
Beaucoup de faits, hors des circonstances de l'attaque du pentagone elle-même
laissent penser que les attaques du 11/9 étaient prévues et qu'une
énorme opération de verrouillage a eu lieu, incluant le vote par le
parlement américain du "patriot act". Le scenario construit à partir
des faits decrits ci-dessus, de mes réflexions,
incluant la manière dont j'ai personnellement vécu cette journée
du 11 septembre, est basé sur les prémisses suivants
(voir détails des
horaires).
- Ben Laden a préparé une attaque dans laquelle quatre avions
seront détournés.
- Les officiels américains sont prévenus de cette attaque, par plusieurs sources,
la plus sérieuse
étant le ministre des affaires étrangères des talibans, qui voulait
ainsi ouvrir une négociation avec les Etats Unis.
- Il est décidé de laisser cette attaque se dérouler, tout en essayant de
limiter les pertes en vies humaines, afin de créer un choc psychologique sur la
population américaine et de créer les conditions nécessaires à l'ouverture d'un
conflit au moyen orient.
- Le Boeing 757 du vol 77 a été préparé. Il est chargé avec une bombe à
uranium appauvri, ou une bombe composite de type Broach, placée dans le compartiment
à bagages.
- Le 11 septembre, quatre avions sont détournés en même temps.
Ce détournement peut être réalisé réellement par des terroristes d'Al Quaida ou
bien être fait de manière électronique en utilisant une technologie de contrôle à
distance, ou encore une combinaison de ces deux hypothèses (voir plus bas).
- Conformément aux
procedures,
le NORAD reçoit l'information du
FAA.
- Un avion détourné heurte la première tour du WTC. Dans le quart d'heure qui
suit, tout le monde a l'information : je l'ai reçue en France sur mon lieu de
travail, la femme d'un collègue ayant reçu un mail d'une personne qui regardait
CNN aux USA, et ayant téléphoné à son mari.
- Un second avion détourné heurte la seconde tour du WTC. Tout le monde à ce
moment là, y compris les français qui suivent les événements en direct sur
internet, sait que cela n'est pas un accident mais une attaque.
- Le NORAD, qui évidemment avait au moins la même information que le public
en France, est d'une certaine manière verrouillé par la conspiration.
A partir de là, trois options sont possibles, développées
séparément ci-dessous.
Option 1 (MIHOP 3) : Le scenario du détournement électronique pur
Ce scenario se déroule de la manière suivante :
- Le Boeing 757 du vol 77 a été préparé.
On l'a équipé d'un système de pilotage à distance,
- Un C 130 vole dans les environs, avec le pilote de cet appareil télécommandé
à son bord. Il suit de près cet avion, prenant en charge la dernière partie
de la trajectoire sur un écran video.
- La video manquant un peu de résolution, alors que la vitesse de l'avion
à plein gaz augmente, il ne voit pas les poteaux d'éclairage public dans la zone du
carrefour entre les autoroutes 27 et 244, et les touche. Le choc
n'est pas destructif pour l'avion mais tord les poteaux et en arrache
certains de leur support, l'avion manquant probablement de peu
de s'écraser dans la pelouse
avant le pentagone. Le pilote parvient toutefois à stabiliser la trajectoire.
- Au moment de l'impact, le C 130 dégage et s'éloigne de l'explosion.
Option 2 (LIHOP) : Le scenario du détournement humain
Ce scenario se déroule de la manière suivante :
- L'avion est détourné par Hani Hanjour et ses complices,
dirigé vers Washington DC.
- Hani Hanjour voudrait s'écraser sur la maison blanche, mais il
est trop haut lorsqu'il arrive sur la ville pour reconnaître sa cible
et piquer sur elle.
- Il fait un virage serré pour revenir sur le centre de la ville.
Etant peu habile, il perd de l'altitude durant ce virage, et se trouve si près
du sol vers la fin, peut être ébloui lorsqu'il se dirige face au
soleil levant, qu'il manque de peu de s'écraser avant d'avoir vu sa cible.
- Il comprend qu'il ne sera pas capable de frapper la maison blanche, mais
juste en face de lui se trouve le pentagone, bâtiment énorme
avec une forme caractéristique.
- Il met les gaz à fond, criant "Allah ou akbar", et se concentre
sur le pilotage de son avion pour le diriger droit sur le bas de la façade
du pentagone.
- Il ne voit pas les lampadaires au carrefour des routes 27 et 244.
Le 757, lancé presque à pleine vitesse, tord certains lampadaires
et en arrache d'autres de leur support, le poids et la vitesse de l'appareil
le maintenant sur sa trajectoire.
Option 3 (HIHOP) : Le scenario de "l'exercice anti-détournement"
- Les autorités US, averties du détournement multiple planifié par Al Qaeda,
decident d'expérimenter une
nouvelle technologie
qui permet de prendre le contrôle à
distance d'un avion détourné et de le ramener au sol en toute sécurité.
- Les pilotes des vols sont avertis de l'opération. Charles Burlingame,
le pilote du vol 77, est choisi pour avoir participé à quelques opérations
secrètes, et pour avoir participé en tant qu'expert à l'analyse du scénario
du crash d'un avion de ligne sur un bâtiment cible.
- Quelques huiles et certains experts des des sociétés qui ont travaillé sur
les technologies anti-détournement s'enregistrent sur les vols, probablement
poussés à le faire pour montrer qu'ils croient dans leur technologie.
- Charles Burlingame,
qui avait projeté d'assister à un match de baseball à Anaheim,
en Californie, avec son épouse Sheri, lui dit de ne pas embarquer avec lui
sur le vol 77. Son frère Brad, qui rapporte ce fait, dit qu'il a expliqué
qu'il n'avait pas pu obtenir une bonne place pour le match.
- Hani Hanjour et son équipe détournent le vol 77. Peut être de manière soft,
puisque le commandant de bord et quelques passagers savent que cela va se
produire. Peut être de manière hard, si certains gros bras de l'équipe de
pirates perdent leurs nerfs et veulent faire couler du sang pour contrôler
les passagers par la terreur.
- Le scénario se continue, l'avion (comme les deux autres des vols 11 et 175)
est mis sous contrôle électronique. Un C130 de la Navy, embarque les
équipements de contrôle à distance et le "pilote". L'opération est supervisée
par une équipe du renseignement de la Navy, depuis un local situé au rez de chaussée
de l'aile Ouest du Pentagone.
- Le système de défense aérien est mis délibérément
en stand-down,
probablement en simulant un
disfonctionnement bureaucratique,
à moins que cela ne fasse partie d'un
exercice planifié
à l'avance, et cela pour que l'expérience puisse se dérouler.
- A bord de l'avion, Hani Hanjour découvre que l'avion n'est plus sous son
contrôle, et se voit probablement informer par le commandant que l'avion est
maintenant sous contrôle à distance, et qu'ils n'ont plus qu'à attendre
que l'avion soit au sol pour discuter, calmement, avec les autorités,
qui seront indulgentes avec les pirates si aucun mal n'est fait
aux passagers.
- Charles Burlingame et Hani Hanjour, peut être tous deux dans le cockpit,
et ne comprenant ni l'un ni l'autre ce qui se passe, voient leur avion
foncer sur le Pentagone pour s'y écraser.
- La bombe embarquée dans l'avion explose. L'équipe du renseignement de la Navy,
dans le Pentagone, est détruite par l'explosion de la charge creuse, le pénétrateur
à uranium apauvri, les débris de l'avion et l'incendie du bâtiment.
- Puisque l'opération est un plein succès pour les trois premières
frappes, dans des scénarios identiques, il est décidé de stopper le vol
93 (qui devait s'écraser sur le Capitole), et il est descendu. Cela pourrait être
par un missile tiré par avion (un jet d'affaires banalisé) qui le suivait, ou bien,
ainsi que le rapporte le Col. Donn
de Grand-Pre, par deux missiles "sidewinders" tiré par un chasseur des "Happy Hooligans",
une patrouille de chasse sur F 16 de la "North Dakota Air Guard".
- Le crime est presque parfait, puisque les "acteurs innocents" (ceux
qui ont développé la technologie et étaient engagés dans l'expérience,
à bord de l'avion ou à l'intérieur du Pentagone)
sont tués en même temps que les victimes des attaques, et ne viendront
donc pas expliquer qu'il s'agissait d'une expérience détournée.
Fin
- Le 757 frappe le bâtiment presque à pleine vitesse, disons
plus de 700 km/h, s'encastre dans la façade qu'il détruit
partiellement, alors que certaines parties de l'avion rebondissent vers
l'extérieur à grande distance du point d'impact.
- La charge creuse, la masse d'uranium appauvri et peut-être
l'énergie de certaines pièces lourdes (réacteurs)
pulvérisent certaines structures du batiment.
- La charge d'uranium continue sa course sur son inertie, explose lentement
et s'enrobe d'un plasma qui lui permet de perforer les murs et les planchers,
détruisant des piliers et faisant le trou de sortie "punch out" dans le mur
de l'anneau C.
- A l'exception de certaines pièces lourdes (moteurs, trains d'atterrissage),
l'avion est complètement pulvérisé, réduit à une pluie
de confettis d'aluminium diront certains témoins pour les parties qui ont
rebondi vers l'extérieur du bâtiment, transformé en poudre blanche (alumine) par
l'effet du système sprinkler pour la partie de l'appareil qui a pénétré dans
le bâtiment.
- Des bizarreries dans les témoignages, la couverture évidente des éléments du
crash par les autorités, poussent le journaliste français Thierry Meyssan à publier
ses livres "L'effroyable imposture" puis "Le Pentagate". Le site web "Hunt the Boeing"
a un gros succès auprès des internautes, posant la question du crash d'un 757.
- Les autorités américaines (FBI, DOD, CIA,
OSP ?)
répondent de la pire des manières
possibles aux questions soulevées par Meyssan : par des images falsifiées, d'abord
de la caméra de sécurité du parking du Pentagone, ensuite de certains débris montrant
des "lettres rouges" et supposées provenir du logo "American" du 757.
- Les infographistes qui ont falsifié ces images et les officiels qui leur ont
commandé le travail ont des compétences limitées aux images 2D. La troisième
dimension est inaccessible à leur cerveau. La fraude peut être prouvée en raisonnant
sur la topographie, la perspective et l'analyse géométrique.
- Ceci ruine la thèse officielle du crash purement "civil" d'un Boeing 757.
Vu qu'il est probable que l'avion est bien un 757, il reste comme hypothèse
valide qu'il transportait une charge militaire.
Arguments pour ce scenario
- Il correspond bien aux témoignages : certains témoins ont dit avoir vu un 757.
- La position des moteurs par rapport à l'axe de l'avion correspond
exactement aux dégâts constatés sur la clôture grillagée, le groupe
électrogène, le muret de protection de la structure de ventilation.
- Les dommages sur le bâtiment correspondent à la taille
d'un 757 si les ailes se sont bien repliées pendant le crash, comme certains
témoins le confirment.
- L'explosion, comme on la voit sur la video, et ses effets sur le bâtiment
ne peut résulter du crash lui même : une bombe dans la soute à
bagages est l'explication la plus probable à ce qu'on voit sur la video de
surveillance et aux dégâts que l'on constate.
- L'explosion de la bombe aurait soufflé la queue de l'appareil, l'empéchant
de frapper la façade au dessus de la zone d'impact du fuselage, laissant
les fenêtres du deuxième étage intactes.
- Certains dégâts à l'intérieur du bâtiment, limités dans leur emprise
à une zone étroite parfaitement alignée entre le point d'impact et le
trou de sortie "punch out", avec des effets dévastateurs, les bizarreries des rapports des
ingénieurs en génie civil sur les dégâts dans le Pentagone, les photos prises
de ces dégâts, la présence de déchets d'uranium dans l'atmosphère de Washington
dans les jours qui ont suivi, témoignent de la
présence d'un "pénétrateur" en uranium appauvri dans l'avion attaquant.
- Il était nécessaire de traffiquer la video originale de la caméra de surveillance
du Pentagone, laquelle montrait probablement plusieurs images de l'avion au moment du crash,
avec des effets qui ne laissaient que peu de doute sur l'existence d'une explosion interne
à l'appareil (queue et autres débris soufflés, ...).
Arguments contre ce scenario
En dehors de quelques arguments techniques (type de bombe utilisé, absence
de témoignage précis sur la position de la queue de l'appareil), les
principaux arguments contre un tel scenario sont :
- Le fait que le gouvernement des Etats Unis d'Amérique puisse laisser
tuer des milliers de citoyens de ce pays pour organiser une opération de
propagande est incroyable.
- Le fait que cette opération de propagande aurait inclus l'attaque du centre de
commandement des armées du pays avec une bombe à uranium est incroyable.
- Le fait qu'une bombe, probablement d'un type "anti-bunker" sophistiquée,
ait pu être placée dans le compartiment à bagages d'un avion de
ligne sur l'aeroport de Washington Dulles avant le décollage est incroyable.
- Le fait que la première puissance militaire, économique et technologique
du monde, confrontée à un problème de communication sur un
thème sensible, décide de réaliser des faux et fasse appel pour
cela à un ou des infographistes amateurs ne
maîtrisant pas l'intégration de leur travail dans la topographie
des lieux, commettant des fautes de géométrie dans l'espace,
est incroyable.
Il y a trop de choses incroyables... comme dans le film "The Matrix", le mieux est de
prendre la pilule bleue et tout cela va juste disparaître de la réalité.
Ou alors, il faut avoir plus d'information pour lever ces doutes. Ces informations
existent : les boites noires et les restes de l'avion, les videos, d'autres photos prises
à l'intérieur du Pentagone, ... !
Nouveau. Decembre 2006. La fille du commandant Charles Burlingame, Wendy, meurt dans son
appartement en feu, aprés avoir été enfermée à l'intérieur
par son compagnon. Rapporté par
Newsday (05/12/06)
et le by
NY Times (06/12/06). Un fait divers triste et bizarre. Rien à en dire de plus avant
de connaître les conclusions de l'enquête.